La FTI a relevé le challenge 2024 bike to work en partenariat avec plusieurs administrations, organisations publiques, parapubliques et internationales. Rencontre avec Marc Sneiders, initiateur du projet à la FTI.
Chaque année pendant les mois de mai et juin, plus de 100’000 collaboratrices et collaborateurs participent au défi de se mettre en selle et pédaler pendant le plus grand nombre possible de jours de travail. Avec bike to work, près de 3’500 entreprises renforcent ainsi la forme physique et l’esprit d’équipe tout en encourageant une mobilité durable.
A la FTI, 9 collaborateur-trice-s ont bravé les conditions météo difficiles de ce printemps pour tenter de maximiser le nombre de kilomètres parcourus. Ils ont totalisé 2’888 km et 73% de part d’utilisation du vélo comme moyen de transport pour se rendre au travail.
Rencontre avec Marc Sneiders, initiateur du projet à la FTI, pour le bilan de cette édition 2024.
Pourquoi avoir motivé vos collègues à participer à bike to work ?
Parce que je suis cycliste et qu’il me tient à cœur de changer les comportements, de soutenir ce passage de la mobilité voiture à la mobilité vélo, à chaque fois que cela est possible.
La météo n’a pas été de votre côté…
Moi je fais du vélo par tous les temps. Le seul moment où je ne fais pas de vélo c’est lorsque la route est gelée. La météo n’a donc pas beaucoup d’importance. Je me dis que ce n’est que de l’eau ! Il me suffit de mettre une bâche et tout va bien.
Quel bilan tirez-vous de ce challenge ?
Je suis impressionné par la distance parcourue. Je sais bien que je fais mes 9 km par jour, mais de voir le résultat commun pour deux mois, près de 2’900 km, c’est impressionnant.
Juste pour dire quand même, cela représente un peu moins de la moitié du vol Swiss GVA – NYC.
À noter, que l’un de nous a réalisé, à lui tout seul, la moitié des km réalisés par les autres équipes !
Quel est votre objectif pour l’édition 2025 ?
Une chose après l’autre, il y a encore 10 mois de pédalage à faire avant. Mon souhait est que le projet soit embrassé par un plus grand nombre de collaborateur-trice-s et que l’on arrive à NYC !